Romeo et Juliette
Si tu savais la passion qui m’habite,
Tu constaterais que chez moi elle est dure.
Tu comprendrais alors ce que j’endure,
Accepte moi, là, souffrant ce démon, vite!
Devrais-je encore donner l’aubade sous ton balcon,
Pour qu'ensuite tu me fasses les honneurs de ton …non?
Attends-tu que nous ayons beaucoup vécu
Pour me faire le cadeau de ton...coeur ?
L’attente serait douce si je savais qu’en vainqueur
Tu m’ouvres un jour les bras et peut-être un peu plus.